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Le dictionnaire du satellite (B)

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Le dictionnaire du satellite (B) Empty Le dictionnaire du satellite (B)

Message  Fondateur Lun 26 Mar - 4:42

B Mac

Version, issue du système de diffusion de la famille Mac (Multiplexed Analogue Components), qui a été l'une des premières à être développée, avec le A et le C. Aujourd'hui, elle est utilisée pour les liaisons professionnelles entre les organismes de télévision Elle permet de véhiculer des signaux audio et vidéo de haute qualité. Aucune chaîne destinée au public n'utilise cette version du standard de diffusion Mac, par ailleurs en voie d'avandon, au profit du numérique.

Baladodiffusion

Le « Podcasting », ou comme le disent les canadiens la « Baladodiffusion » est l’utilisation des fichiers MP3 par les radios afin de mettre à disposition des auditeurs un moyen souple et de qualité pour écouter la radio en différé sur un ordinateur fixe ou portable ainsi que sur tous les baladeurs informatiques que sont les Ipod ou autres , capables de stocker des fichiers MP3.

Balayage

Auto-tuning ou scan en anglais. Dans le vocabulaire relatif aux récepteurs satellite, utilisé pour désigner le dispositif électronique, qui, lors de la recherche et de la mémorisation des canaux diffusés sur un satellite, permet de trouver automatiquement les principaux canaux captés, soit, sur un satellite, par balayage des fréquences, soit sur l'ensemble des satellites, par un balayage de l'arc des satellites, puis des fréquences de chacun des satellites.

Balayage 100 Hz/ 200 Hz ect...

Technologie appliquée aux tubes cathodiques permettant d'afficher plus de trame, afin de supprimer le scintillement de l'écran et diminuer la fatigue visuelle. Sur un téléviseur non équipé le balayage est de 50 Hz. Balayage 100 Hz, 200 Hz… :Intégration de circuits sophistiqués d’interpolation (création d’images intermédiaires) afin de fluidifier l’affichage à l’écran. Très important pour les amoureux de sport ou d’action, les déplacements des caméras ou des personnages sont plus fluides. Balayage 400 Hz ou 600 Hz “sub field” (sous-trame) . Propre à la technologie Plasma, cette technologie de détection vectorielle des « sous-trame » permet de rendre plus fluide les images en mouvement. Les chiffres annoncés (400 ou 600 Hz) ne traitant pas des images complètes comme sur le LCD, les valeurs ne sont pas comparables.

Balayage progressif et entrelacé

Balayage progressif ou Progressive scan : signal vidéo dont toutes les lignes composant l'image sont affichées les unes à la suite des autres, de haut en bas et en un seul balayage. Ce signal vidéo, où les 480 lignes sont par conséquent affichées de façon non entrelacée* - autrement dit de façon progressive - est appelé "signal 480p" (p pour progressive). Il résulte de ce procédé une image dont la définition est purement et simplement doublée : la fréquence du signal vidéo passe alors de 15,5Khz à 31Khz, nécessitant l'utilisation, soit d'un téléviseur compatible Haute définition disposant d'entrées vidéo composante HD, soit un projecteur acceptant un doubleur de ligne. Pour sortir un tel signal vidéo progressif d'un lecteur de DVD, il est nécessaire d'utiliser sa sortie vidéo composante, autrement appelée Y/U/V. Aux Etats-Unis, les deux systèmes 720 p et 1080i de vidéo haute définition ont été retenus, ce dernier étant plutôt destiné à la réception satellite. Le balayage progressif accroît la précision de la vidéo puisque chaque image s'affiche d'un coup avec toutes ses lignes. On obtient une image plus précise mais qui occasionne de légères saccades lors de mouvements de caméras trop brusques. En progressif, l'image est donc moins fluide. Pour signaler le mode progressif, les techniciens ajoutent la lettre "p" après le nombre de lignes.
Pour la haute définition, on utilise aujourd'hui deux standards :
• 720p : désigne 1280x720 pixels en balayage progressif
• 1080i : désigne 1920x1080 pixels en balayage entrelacé


Balayage progressif
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Balayage entrelacé
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Les signaux vidéo sont souvent nommés selon le nombre de lignes qu’ils utilisent, suivis d’une lettre « p » ou « i ».Dans une diffusion en Haute Définition par exemple, vous trouverez les références 720p et 1080i.Le « p » qui signifie « progressif » et le « i » « entrelacé » (interlaced) font référence à la manière dont le signal source est créé et/ou transmis. En Europe, les sources vidéo utilisent 50 échantillons par seconde. Un « p » indique que le signal vidéo possède 50 captures d’images complètes alors qu’un « i » indique qu’il possède 50 captures d’images avec une alternance des lignes paires et impaires. En réalité les deux formats ont chacun leurs avantages : les signaux progressifs 1280 x 720p sont particulièrement conseillés pour restituer le mouvement alors que les signaux entrelacés 1920 x 1080i présentent un avantage au niveau de la résolution. Les diffusions en définition standard (SD) ont longtemps utilisé des signaux entrelacés 576i. D’ailleurs les téléviseurs TV SD affichaient l’image à l’écran de façon entrelacée. De nombreux nouveaux postes fonctionnent cependant en mode progressif, ce qui permet aux signaux entrelacés entrants d’être convertis en signaux progressifs (« désentrelacés ») à l’intérieur de l’écran.

Bande C

Gamme de fréquences comprises entre 3,7 et 4,2 GHz. La puissance d'émission, qui lui est généralement associée, est relativement faible, en comparaison avec la bande KU par exemple. Elle nécessite donc des paraboles de grande taille pour sa réception et est particulièrement développée en Afrique.

Bande DBS

Gamme de fréquences comprises entre 11,7 et 12,5 GHz, subdivision de la bande KU. Elle complète les bandes FSS et Télécom.

Bande de base

Combinaison du signal vidéocomposite et des signaux audio en un seul signal, brut, obtenu après démodulation et avant correction. Le signal bande de base est délivré sur une sortie spécifique du récepteur satellite, afin de répondre aux nécessités de certains types de décodeurs ou décrypteurs.

Bande ECS

Désigne à tort une subdivision de la bande KU couvrant les fréquences 10,95 à 11,7 GHz, première portion utilisée en Europe pour la télévision et la radio par satellite.

Bande FSS

Gamme de fréquences comprises entre 10,7 à 11,7 GHz. Elle est une subdivision de la bande KU. Elle complète la bande DBS et la bande Télécom.

Bande Intermédiaire Satellite (BIS)

Gamme de fréquences exploitée par le tuner satellite, après conversion par le LNB, allant de 950 à 2050, voire 2150 MHz. La BIS est souvent utilisée dans la réception collective. On parle alors de Fréquence intermédiaire ou FI (IF en anlais). Comment calculer la fréquence d'entrée du tuner satellite ( BIS),exprimée en Mhz ( en général de 950 Mhz à 2150 MHz) à partir d'une fréquence de diffusion satellite exprimée en Ghz ? Il est indispensable de connaître la fréquence exacte de l'oscillateur local du convertisseur utilisé. Par exemple si il s'agit d'un convertisseur universel en bande Ku, il y a deux fréquences pour les deux oscillateurs locaux utilisés : un pour la bande KU "basse" à 9,750 Ghz, et l'autre pour la bande Ku "haute" à 10,600 Ghz. Connaissant la fréquence d'émission satellite, celle qui est publiés dans nos "tableaux des satellites", il suffit de soustraire de cette fréquence ( ex : 11,778 Ghz, pour Planéte sur Astra) , la fréquence de l'oscillateur local utilisé pour la bande "haute" ( ex : 10,600 Ghz) et de supprimer la virgule...
11,778 GHz- 10,600 GHz = 1,178 GHz = 1178 MHz

Bande K

Gamme de fréquences comprenant plusieurs bandes, dont la bande KU et la bande KA.

Bande KA

Gamme de fréquences notamment utilisée pour la transmission de données. Elle doit par exemple être exploitée à cette fin par Astra (20-30 GHz), car elle permet la voie de retour.

Bande KU

Gamme utilisée pour la télévision et la radio. Dans ce domaine, elle s'étend de 10,70 à 12,75 GHz. Cette bande est la plus répandue en Europe, du fait de la petite taille des paraboles nécesaires à sa réception. Elle se subdivise en sous-bandes, Télécom, DBS et autres appellations. On parle plus généralement aujourd'hui de bandes basses (10,70 à 11,70 GHz) et haute (11,70 à 12,75 GHz).

Bande L

Gamme de fréquences ,entre 1,452 et 1,492 GHz, notamment utilisée pour les communications mobiles . Son application comprend outre la radio numérique (DAB), la diffusion MMDS.

Bande passante

Voir largeur de bande.

Bande passante audio

La bande passante audio est la plage des fréquences utilisées par l'information sonore. Une information est qualifiée de hi-fi lorsqu'elle utilise l'intégralité des fréquences sonores de 20 Hertz à 20000 Hertz. La bande passante utilisée par le canal Surround codé dans les pistes stéréo en Dolby Surround n'est pas hi-fi. En effet elle utilise une bande passante de 1000 Hertz à 7000 Hertz alors que celle utilisée par les canaux Surround en Dolby Digital ou DTS est hi-fi, utilisant une bande passante de 20 Hertz à 20000 Hertz. Un caisson de basses travaille généralement sur une bande passante allant de 20 Hertz à 200 Hertz.

Bande passante vidéo

Tout comme pour l'audio, la notion de définition vidéo peut aussi s'exprimer en fréquence: on parle de bande passante vidéo. Supposons que l'on veuille obtenir 300 points visibles le long d'une ligne: il faut pour cela allumer et éteindre 300 fois le spot le long de son parcours. Pour le standard PAL à 625 lignes et 25 images seconde, cela donne: 300*625*25 = 4687500 allumages-extinctions ou encore une fréquence de 4.7MHz. Pour le standard NTSC 525 lignes et 30 images secondes on obtient: 300*525*30 = 4725000 = 4.7MHz. On constate ainsi que les deux normes ont pratiquement la même bande passante. Cela tient à ce que les lignes sont de longueur très voisines et renouvelées à des fréquences très proches (respectivement 15625Hz et 15750Hz). Deuxième constatation: une image de définition moyenne demande une bande passante de près de 5MHz tandis que le son se contente de 20kHz. L'image video est donc très gourmande.

Bande S

Type de fréquence servant principalement pour les liaisons intercontinentales de télécommunications.

Bande Télécom

Gamme de fréquences, comprise entre 12,5 à 12,7 GHz. Elle est une subdivision de la bande KU. Elle se trouve dans la partie haute de la portion de bande utilisée en télévision et radio.

Bande X

Gamme réservée à un usage militaire (7-8 GHz).

Bandwidth

Voir Largeur de bande

Base ou basique

Voir Bouquet.

Basse

En référence à l'orbite de certains satellites. Elle est généralement circulaire. La position de ces satellites se situe à quelques centaines de kilomètres d'altitude. Ils sont normalement destinés à la téléphonie mobile.

Beam

Mot anglais pour faisceau.

BER

Abréviation de l'expression anglaise Bit Error Rate. Taux d'erreur mesuré à la réception d'une transmission numérique, indiquant le niveau d'atténuation et/ou de perturbation de la puissance du signal. Il mesure le nombre d'erreurs par données reçues. Sur mille données transmises par exemple, il peut y avoir une erreur. En moyenne, une mesure de la réception du signal au niveau de l'antenne procure un taux d'erreur de 10-5 (une erreur pour cent mille données transmises), voire 10-4 (une erreur pour dix mille informations envoyées). Pour obtenir un bon signal sur le récepteur, la mesure idéale est de 10-4, mais 10-3 (une erreur pour mille données transmises) est acceptable. La différence entre l'erreur mesurée à l'antenne et celle constatée au récepteur provient d'une atténuation normale et naturelle de la puissance du signal, due à la distance parcourue pour aller de l'une à l'autre. 10-3 est le seuil critique. Si, au récepteur, le taux d'erreur est supérieur (10-2 par exemple, soit une information érronée pour cent transmises), la réception est dégradée. C'est à cette valeur qu'apparaît le rond rouge sur le Mediasat de Canal par exemple, pour indiquer un défaut de réception. A 10-1 (une erreur pour dix informations transmises), c'est le carré rouge qui prend le relais. La cause des perturbations est multiple: mauvais pointage, accessoires inadaptés, etc.

BF

Basses fréquences. Par opposition à HF, qui concerne l'émission, la BF concerne des signaux non modulés. Les signaux sonores véhiculés par les câbles d'une chaîne Hi-Fi par exemple, sont dits BF, de 20 à 20 000 Hz.

Bird

Mot anglais désignant familièrement un satellite. Le terme a été repris pour qualifier la nouvelle génération de satellites Eutelsat, Hot Bird.

BIS

Voir Bande Intermédiaire Satellite (BIS).

BISS

Basic Interoperable Scrambling System ( BISS) : Norme de cryptage profesionelle

Bitrate

Voir Débit binaire.

Blu-Ray

Le disque Blu-ray ou Blu-ray Disc (abréviation officielle BD, autre dénomination B-RD) est un format de disque numérique breveté et commercialisé par l’industriel japonais Sony permettant de stocker et restituer des vidéogrammes en Haute Définition. Sa dénomination provient du type de rayon laser qu’il exploite, de couleur spectrale proche du bleu. Son principal concurrent, le HD DVD lancé par Toshiba avec le soutien de Microsoft a été officiellement abandonné en février 2008. Le Blu-ray exploite un rayon laser bleu-violet (longueur d’onde : 405 nm), d’ouverture numérique élevée (0,85). Par comparaison avec le laser Infrarouge (longueur d’onde : 780 nm) d’ouverture numérique 0,45 utilisé pour le CD et le laser rouge (longueur d’onde : 650/635 nm) d’ouverture numérique 0,6 utilisé pour le DVD, le Blu-ray permet de stocker plus d’informations sur la même surface grâce à un rayon plus fin (diamètre du spot laser : 290 nm) induisant des sillons de gravure plus petits et plus rapprochés (écart : 320 nm) et des alvéoles plus courtes (longueur minimale : 149 nm — 135 nm pour le modèle 27 Go actuellement abandonné). À l’instar des lecteurs DVD et selon leur zone de commercialisation, les lecteurs Blu-ray intègrent un verrou électronique, les rendant incompatibles avec les disques achetés en dehors des zones ou pays pour lesquels, ils sont prévus. Ainsi, 3 zones géographiques sont définies pour le Blu-ray : Région A : principalement le continent américain, une partie de l’Asie du Sud-Est et de l’Océanie Région B : l’Europe, l’Afrique, l’Australie et le reste de l’Océanie Région C : le bloc russe et eurasien, l’Inde et l’Asie.

BNC

(Bayonnet Nut Connect) Connecteur avec écrou à baïonnette.

Boucle Locale

La boucle locale est la partie de la ligne téléphonique (paires de cuivre) allant du répartiteur de l'opérateur téléphonique jusqu'à la prise téléphonique de l'abonné. Physiquement, il s'agit de tous les câbles urbains que l'on peut voir dans les rues, des câbles souterrains et même de la paire de fils arrivant chez l'usager. En France, la boucle locale est la propriété de l'entreprise France Télécom. Jusqu'en 2004, tous les abonnés à un service de téléphonie fixe ou d'un accès à Internet de type ADSL devaient donc payer un abonnement à France Télécom, quel que soit leur opérateur. Mais désormais, les frais d'accès à la boucle locale peuvent être payés directement à France Télécom par l'opérateur de l'abonné dans les zones dites dégroupées : on parle alors de dégroupage total. La boucle locale n'est pas nécessairement physique: par exemple la Boucle Locale Radio (BLR) permet de relier par ondes hertziennes les clients. Sur l'ensemble du territoire français deux licences de BLR ont été attribuées, France Télécom étant exclu de cette attribution. Mais la frilosité des nouveaux opérateurs, qui préfèrent le dégroupage, moins couteux en investissements, n'a pas donné à cette technique le succés escompté.

Bouquet

On parle de package en anglais. En télévision, désigne un ensemble de chaînes, diffusées et commercialisées sous la même bannière et dans un même pays. Il se divise généralement en bouquet de base ou basique, premier niveau d'accession aux programmes, comportant une dizaine, voire une vingtaine de chaînes ou plus, et d'options thématiques (ciména, sport, musique, etc.) ou de services (téléchargement, programmes à la carte, etc.) nécessitant un paiement supplémentaire.

Bruit

En audio-vidéo. Élément perturbateurs affectant la qualité du signal, lors de son transport. Leur variation est fonction des caractéristiques du matériel de réception et des conditions de transport. Ils se traduisent par du souffle et de la distorsion dans le son et un décrochage de l'image, de la neige et des coupures de chrominance. En numérique, ils se caractérisent par une pixellisation de l'image en des coupures et une dégradation du son. Voir aussi facteur.





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